L’empreinte fait imploser l’identité, montre l’être, les éléments qui le constitue (liberté de pensée, de conscience, de religion, d’opinion, d’expression) comme s’il s’agissait de cartographier ces paysages originaires, de tracer ces chemins de vie qui, en définitive n’ont plus la parole réelle, et deviennent des identités torturées, des prisonniers de consciences. The imprint implodes identity, shows the being, the elements that constitute it (freedom of thought, of conscience, of religion, of opinion, of expression) as if it were a question of mapping these original landscapes, of tracing these paths of life which, in the end, no longer have real speech, and become tortured identities, prisoners of consciousness.